miércoles, 18 de julio de 2007

Le voyage

Ma recherche du prix le moins cher, non couronnée de succès, m´avait conduit à choisir un vol avec escale à Madrid-Barajas, ce symbole de la dynamique espagnole. Je volais sur Iberia. Et j´ai pu découvrir à cette occasion que l´homologue espagnol d´Air France était devenue sur les vols moyen-courriers une vulgaire compagnie low-cost. Ils n´offraient rien et faisaient payer les boissons et les sandwichs. Arrivé à Madrid, j´ai du sortir de l´aéroport pour mieux y rerentrer, l´agent de comptoir parisien d´Iberia n´ayant pas été capable de m´imprimer une carte d´embarquement sous prétexte que j´avais acheté mon billet auprès de LAN. Inutile de préciser quMadrid, seule Iberia pouvait délivrer les pass pour un vol qu´elle assurait. J´ai pu patienter des heures dans la file pour que tout ce que l´Espagne compte de gens lents, stupides ou à problèmes veuillent bien terminer leur formalités. J´ai pu ensuite traverser ce terminal 4 qui fait la fierté d´Iberia jusqu´à la porte d´embarquement. J'ai auparavant du prendre plusieurs ascenseurs, un métro. Ce terminal est gigantesque, propre et peut-être joli, mais malpratique pour ceux qui arriveraient trop près de l´horaire limite. L'avion était un A340-600, le fleuron des long-courriers chez Airbus. Mais il était configuré à la sauce Iberia. Ils ont du embaucher l´équipe de design de chez Corsair : une housse de siège marron, si quelqu´un vomit cela ne se voit pas, quelques écrans comme dans les cars de votre enfance, le blockbuster américain est un avion qui va de Madrid à Santiago... Mais le voyage se passa bien, sans évènement notable à signaler. Un bus me mena rapidement dans le centre de Santiago et je trouvai sans mal ce qui devait être le lieu de mon stage. Et ce n´est pas sans une forte inquiétude que je me présentai au réceptionniste.

1 comentario:

Unknown dijo...

Trouvis ? trouvai !
Bon par ailleurs je renonce à corriger les fautes d'ortographe !