L'intitulé de mon stage était que je serai l'homme à tout faire et homme à tout faire, je suis. En véritable humaniste, je ne laisse aucun domaine inexploré. J'ai quasiment les horaires les plus longs de toute l'hôtel. J'ai du payer avec mon propre argent le pourboire pour des courses et tout ce que la propriétaire a dit est :"tu n'aurais pas dû donner autant". Ma productivité à la vaisselle augmente prodigieusement. Ma connaissance des lieux m'a permis un gain de 40% le second jour et aujourd'hui, j'ai encore amélioré de 33% cette performance. Faire la vaisselle pour 50 personne est très gratifiant, je suis reconnaissant à la DFHM pour cette expérience inoubliable. Je fais aussi l'ouvrier des temps modernes, celui qu'on trouve habituellement en Inde. Je vérifie des listes de réservations passées, présentes et futures, je mets à jour les données dans tous les logiciels qu'ils utilisent pour la gestion de l'hôtel ainsi que les systèmes de réservations en ligne auxquels ils sont affiliés. Je fais pas mal de manutention : des sacs de linges, des courses... Je fais aussi de l'intérim à la réception. Le problème est qu'après de telles journées je n'ai aucune envie de travailler l'espagnol ce qui nuit à ma progression. La conclusion est que je ne ferai plus jamais dans un cadre professionnel un stage non rémunéré. Je mériterais largement un salaire.
viernes, 27 de julio de 2007
Suscribirse a:
Enviar comentarios (Atom)
No hay comentarios:
Publicar un comentario